J’ai teste : les outils de découpe
Utiliser des ciseaux est devenu difficile : découper quelques étiquettes entraine illico une fatigue importante et si j’insiste malgré tout , le mouvement de pince avec le pouce répété devient assez vite douloureux.
Aussi, j’ai cherché des solutions alternatives :
Dans la cuisine, quand on ne peut ni utiliser un robot électrique, ni un coupe frite manuel (qui coupe également d’autres légumes en bâtonnets, voir en cubes lorsque on remet les bâtonnets dans l’autre sens) reste la découpe à l’aide d’un couteau bien aiguisé, poignets posés sur un torchon ou une serviette roulée pour moins fatiguer.
Pour le papier ou le tissu, j’ai essayé les ciseaux électriques : ils sont assez lourds pour une fibro, mais bras posés, c’est supportable. Par contre, dans cette position il est difficile de réaliser des coupes bien droites, ou qui suivent exactement un tracé. Et le bruit de l’appareil augmente rapidement la fatigue engendrée par le poids et les difficultés à œuvrer sans pouvoir poser les bras efficacement.
Je me suis donc tourné vers une autre solution : le cutter. Le cutter rotatif est assez efficace pour couper du tissu. A condition de fractionner les coupes si besoin : il faut tout de même appuyer sur la lame ou sur la règle de coupe pour que le tissus ne bouge pas. Et il est plus aisé de pratiquer debout. Dur-dur à certains moments ! Impossible à d’autres.
Reste le cutter traditionnel, muni d’une lame neuve. C’est le plus pratique pour des coupes droites sur du papier ou du carton. Pour ce dernier, il n’est pas nécessaire d’appuyer : il suffit de repasser plusieurs fois, sans jamais bouger la main qui maintient la règle. Sans la crisper non plus. Relaxation indispensable !
En résumé, les ciseaux sont à bannir. Dans la cuisine je m’en sors avec de bons couteaux ; sinon les cutters ou ciseaux électriques sont à préférer selon les situations.